mardi 22 novembre 2011

Ô Dieu, où es-tu ?


L'objectif de notre vie terrestre est de progresser, de nous développer et d'être fortifiés par nos expériences.

Je me suis souvent demandé pourquoi le Fils de Dieu, ses saints prophètes et tous les saints fidèles ont des épreuves et des tribulations même quand ils essaient de faire la volonté de notre Père céleste ? Pourquoi est-ce si dur, surtout pour eux ?

Je pense à Joseph Smith, qui a été malade quand il était jeune et qui a subi la persécution tout au long de sa vie. Comme le Sauveur, il s'est écrié : « Ô Dieu, où es-tu ? » Mais même quand il semblait être seul, il a exercé son libre arbitre pour se confier dans le Seigneur et accomplir la volonté de son Père céleste.

Je pense à nos ancêtres pionniers, chassés de Nauvoo et traversant les plaines, exerçant leur libre arbitre pour suivre un prophète, même malades et démunis et, même, pour certains, malgré la mort de leurs êtres chers. Pourquoi des tribulations aussi dures ? Dans quel but ? À quelle fin ?...........

DETI Ernest 
ABIDJAN - COTE D'IVOIRE
------------ --------- --------- --------- --------- --------- -
"Il n'est pas de montagne infranchissable,
Il n'est pas d'horizon inaccessible,
Il n'est pas d'étoile insaisissable" .

------------ --------- --------- --------- --------- --------- -

mercredi 16 février 2011

LE CHANTAGE DE LA FRANCE

Quand la France s'auto détruit par sa politique du chantage en Côte d'Ivoire de Pierre Lionel Joël
 Publié le 15/02/2011    Source : IVOIREVOX     document(s)
Espaces d'informations politiques,culturelles et pédagogiques – 14.02.2011 – 
L'actualité du moment est très riche pour le continent africain. En effet le Maghreb est en ébullition et semble montrer au reste de l'Afrique la voie à emprunter pour mettre fin au règne de chefs d'états qui pendant des décennies ont fait ce qu'ils pouvaient pour servir les intérêts de leur pays.
Les évènements survenus en Egypte et en Tunisie ces deux dernières semaines prouvent bien que quelle que soit l'intensité de la force d'un régime, lorsqu'un peuple est décidé à se faire entendre il arrive à le faire. De la révolution française d'hier aux révolutions du Maghreb d'aujourd'hui nous avons assisté à la révolte de pauvres gens rejoints par des classes moyennes, qui armés de leur désespérance ont fait tomber l'aristocratie d'hier, et les autocraties plus ou moins dictatoriales d'aujourd'hui. Mon désir de mêler la révolution française aux révolutions qui se jouent en Afrique actuellement s'explique par le fait que cette France qui a connu 1789 se trouve dans un processus en Côte d'Ivoire qui fait tâche dans cette Afrique qui aspire au changement. Comment ne pas parler de la Côte d'Ivoire au moment où l'Afrique du nord montre le chemin qui mène à une meilleure démocratie c'est à dire une démocratie qui prend un peu plus en compte la volonté du peuple ? Pour faire court, je dirais que la Côte d'Ivoire est un pays qui se trouve dans les difficultés du moment parce que sa classe politique n'a pas su gérer voire même digérer un contentieux électoral. La Côte d'Ivoire est un pays où on veut nous faire admettre qu'il existe deux présidents. L'un déclaré vainqueur par le conseil constitutionnel du pays et l'autre déclaré vainqueur par la communauté internationale. Chacun des deux camps s'appuyant sur les suffrages exprimés dans les urnes par le peuple de Côte d'Ivoire. Dans cet imbroglio politico juridique, les médias de la communauté internationale et les médias nationaux entrent en compétition non pas pour informer mais pour communiquer sur ce qui leur semble être la vérité. Le temps de l'information qui consistait à donner accès à tous les sons de cloche pour laisser le lecteur, l'auditeur ou le spectateur se faire sa propre opinion est révolu. A l'heure de la communication, les médias sont tous au service d'une cause. Fort heureusement les outils de communication actuels permettent aux individus de s'informer et de choisir en toute liberté ce qui pour eux semble être la vérité. Ces outils de communications ont semble t-il joué un rôle majeur dans les révolutions maghrébines et on ne peut qu'espérer qu'ils jouent un rôle identique en Afrique de l'Ouest. En tant qu'intellectuels ou cadres africains nous nous devons de nous servir de ces outils pour échapper au prêt à penser et pour nous faire notre propre opinion. Ceci étant dit, essayons de voir d'un peu plus prêt à quoi se résume la situation en Côte d'Ivoire. Nous avons un président qui a l'aval d'une institution nationale et un autre qui a l'aval d'une entité appelée communauté internationale. Pour faire valoir son point de vue la communauté internationale utilise tous les leviers en sa possession notamment les sanctions, le gel des avoirs, la menace de frappes militaires et enfin l'asphyxie économique. Autrement dit, ce que la communauté internationale cherche à nous faire comprendre c'est que lorsqu'on n'est pas d'accord avec elle, on s'expose à tout cet arsenal de punitions. Pour employer une expression toute faite je dirais que c'est l'utilisation de l'argument de la force plutôt que l'utilisation de la force des arguments.
En Egypte et en Tunisie la force des arguments a bien convaincu le peuple de s'élever contre l'argument de la force et on ne peut pas dire que la police d'état était plus tendre dans ces pays qu'elle ne le sont les forces de le l'ordre en Côte d'Ivoire. Si la position de la communauté internationale était si légitime que ça pourquoi n'a-t-elle pas convaincu le peuple ivoirien ? Qu'on ne me parle pas de musellement des médias puisque là encore les deux pays du Maghreb qui nous servent de référence n'étaient pas réputés pour avoir les médias les plus libres du monde. Tout ceci nous permet de conclure qu'il y a quand même une certaine distance entre ce que la communauté internationale défend au nom du peuple ivoirien et ce que ce peuple est prêt à défendre lui-même.
La question qu'il convient de se poser à ce stade de la réflexion c'est de savoir qui donne le droit à une communauté internationale, aussi bien intentionnée soit elle, de vouloir imposer sa vérité à un peuple qui normalement est dit souverain ? Qui donne le droit à cette communauté internationale de pousser une population à s'insurger contre une décision de ses institutions? Qui donne le droit à une communauté internationale d'affamer un peuple, de réduire son tissu économique à néant pour l'amener à se révolter et à s'entre déchirer ? Le rôle de la communauté internationale ne devrait-il pas être d'aider un pays à se doter d'institutions crédibles plutôt que de pousser à l'anarchie ?
Admettons que le conseil constitutionnel de Côte d'Ivoire ne soit pas crédible. Mais lorsque l'Union Européenne prend des sanctions contre des citoyens sans avoir dit le droit peut-on accorder une once de crédit à ses institutions ? Le plus cocasse dans cette histoire c'est que sur la liste des bannis de l'Europe se trouve des français à qui l'on interdit de rentrer dans leur propre pays. Est-ce ça le droit ? Ces personnes ont-elles été sanctionnées après avoir plaidé leur cause ? Une des grandes armes de cette fameuse communauté internationale c'est de menacer de soumettre des citoyens aux foudres du Tribunal pénal international. Mais dites moi qui doit on menacer de la sorte lorsque l'on est un citoyen ivoirien qui vient de perdre sa femme pour hémorragie en suite de couche, tout simplement parce qu'un samedi soir, on n'a pas pu obtenir de l'argent d'un distributeur à cause de l'embargo économique imposé à tout un peuple ? La situation en Côte d'Ivoire est affligeante car elle nous oblige à perdre la foi dans ce que nous croyions être des institutions internationales garantes d'un ordre mondial le plus juste possible. Qu'on m'aide à comprendre comment on peut accepter les lettres d'accréditation d'un ambassadeur qui n'a pas la caution des institutions de son pays? Comment peut-on mettre à sa disposition des forces de l'ordre pour aller prendre une ambassade alors que celui qui l'a nommé attend encore la réponse au courrier qu'il a eu à adresser au conseil constitutionnel de son pays. Ce candidat que la communauté internationale considère comme vainqueur écrit au conseil constitutionnel du pays qu'il veut diriger et sans que celui-ci ne le reconnaisse comme président, des pays étrangers accréditent des ambassadeurs qu'il nomme. Je souhaite que des juristes m'expliquent comment cela peut se faire car mon bon sens ne me le permet pas. On pourrait rire de cette situation si ce n'est que son incongruité risque de conduire à une guerre fratricide dont la communauté internationale aura vite fait de se laver les mains en invoquant la sauvagerie des parties en présence. Mais si je refuse de jouer le sauvage, je suis dans l'obligation de me ranger derrière l'ordre constitutionnel qui fait de mon pays une nation. Il est temps que les diplomates refassent de la diplomatie avec tout ce que cela comporte de droit de réserve et de non immixtion. Il est temps qu'on libère les chefs d'entreprises du dilemme aussi insoutenable qu'incongru qui consiste à leur demander de bafouer les règles du pays dans lequel ils exercent leur activité au nom d'une vérité qui a du mal à s'imposer naturellement. Une communauté internationale qui exerce un tel chantage et qui cautionne des attitudes contraires à la loi perd toute sa crédibilité et ne mérite pas d'être suivie. En conclusion, il ne s'agit plus d'aimer ou de ne pas aimer le président investi par le conseil constitutionnel de la Côte d'Ivoire, il s'agit de refuser des méthodes d'une communauté internationale qui en Côte d'Ivoire devrait abandonner la politique du chantage ou pour parler plus diplomatiquement la politique de la pression. C'est d'autant plus nécessaire au moment où des peuples du Maghreb révèlent au grand jour que cette communauté internationale a soutenu pendant des décennies, en fermant les yeux sur les droits de l'homme, des dirigeants qui les affamaient. Il s'agit de souhaiter que la communauté internationale voie plus l'injustice qu'il y a à affamer un peuple qu'à recompter les voix exprimées dans un scrutin. Il s'agit enfin de garder l'espoir que c'est de notre Afrique, celle qui a su digérer dans la dignité le côté abject de l'esclavage transcontinental et de l'apartheid, que viendra un nouvel ordre mondial avec plus de justice afin que soit réduit à néant, la tentation hégémonique des puissants qui à l'intérieur des états ou à l'échelle du monde essaient d'imposer leurs intérêts au mépris de celui des peuples souverains.

DETI Ernest Lemanois
+225 08.01.07.65
+225 01.75.06.06
ABIDJAN - COTE D'IVOIRE
------------ --------- --------- --------- --------- --------- -
"Il n'est pas de montagne infranchissable,
Il n'est pas d'horizon inaccessible,
Il n'est pas d'étoile insaisissable" .

------------ --------- --------- --------- --------- --------- -

DES AVOCATS S’INGURGENT CONTRE LE PROCUREUR PRES LA CPI

------------ --------- --------- --------- --------- --------- -

  CRISE IVOIRIENNE
Transférez ce mail a un ami  


DES AVOCATS PRES LE TRIBUNAL PENAL INTERNATIONAL POUR LE RWANDA (TPIR) ET PRES LA COUR PENALE INTERNATIONALE (CPI) S'INGURGENT CONTRE LES PROPOS DU PROCUREUR PRES LA CPI
 
Nous sommes un groupe d'avocats près le Tribunal Pénal International pour le Rwanda (TPIR), basé à Arusha en Tanzanie, et également près la Cour Pénale Internationale basée à La Haye aux Pays- Bas.
 
Nous sommes interpellés par les évènements qui se déroulent en Côte d'Ivoire et qui ne laissent aucun africain indifférent. Notre appartenance au système de la Justice Internationale, nous conduit à nous étonner des propos tenus par le Procureur près la CPI, Mr Moreno-Ocampo lesquels propos s'apparentent clairement en des menaces contre une des parties à ce litige, et plus précisément contre le camp du Président Laurent Gbagbo.
 
Cette immixtion intempestive du Procureur de la CPI dans ce litige tente à montrer le dessein de celui-ci à transformer cette auguste Cour en une arme politique au service exclusif des puissances occidentales.
 
On est en droit de se demander à quel moment Mr le Procureur de la CPI a pu mener ses enquêtes pour indexer un camp comme étant le responsable des crimes qui ont pu se commettre en Côte d'Ivoire après les élections.
 
Cette position qui est le reflet de celle annoncée au lendemain des élections par certaines puissances occidentales nous conduit à redouter que Mr Moreno-Ocampo ne montre un parti pris proprement scandaleux. Et si c'est le cas nous sommes bien aux antipodes du noble esprit qui à prévalu à la mise en place de la Cour dont il est le procureur.
 
En effet Mr Moreno-Ocampo semble vouloir utiliser l'opportunité des poursuites qui est son privilège, à des fins politiques, et semble très clairement dire au Président Gbagbo : « Quittez le pouvoir, cédez votre place à Mr Ouattara, sinon nous vous poursuivrons pour crimes contre l'humanité etc… »
 
On se souvient que récemment Mr Moreno-Ocampo n'a pas hésité à pointer du doigt et citer nommément le ministre Charles Blé Goudé comme devant faire l'objet de poursuites devant la CPI.
 
Et ce faisant, le procureur a désigné un suspect avant même de déterminer le crime commis, ce qui montre un parti pris proprement scandaleux !
 
Le Procureur Moreno-Ocampo est il dans l'esprit qui a prévalu à la mise en place de cette Cour pénale Internationale  quand il agit de la sorte ?
 
Il apparait que non, et une telle attitude si elle persiste va retirer toute sa crédibilité à cette Cour.
 
Ce faisant, le procureur Moreno-Ocampo viole un principe fondamental de droit et même les règles de la CPI :
 
  1. Violation d'un principe fondamental de Droit :
 
- Moreno-Ocampo qui à notre connaissance n'a pas mis les pieds en Côte d'Ivoire a décidé de là où il se trouve que s'il y a exactions, celles-ci proviendraient forcément du camp du président Gbagbo, Il y a manifestement violation du droit à la présomption d'innocence tel que prévue par l'article 64 des statuts de la CPI qui impose le principe d'objectivité dans la recherche de la vérité (le procureur enquête d'ailleurs à charge et à décharge, et non pas seulement à charge comme il semble le faire dans le cas de la Côte d'Ivoire.
 
 
  1. Violation des règles de la CPI
 
  • Luis Moreno-Ocampo a sauté une étape importante dans la saisine de la CPI, qui est que c'est seulement lorsque les juridictions nationales n'ont pas la volonté ou la compétence pour juger de tels crimes que la CPI est saisie et il faut démontrer cette lacune des juridictions nationales.
 
  • La CPI est saisie soit par les États parties, soit par le Conseil de sécurité de l'ONU, ou alors le Procureur peut décider d'ouvrir une enquête de sa propre initiative, mais avant de décider cela il doit en demander l'autorisation à la Chambre préliminaire.
 
Ces observations étant faites, il convient de rappeler ici que tout en ayant signé le Statut de Rome, la Côte d'Ivoire n'a pas encore ratifié ce Statut et n'est donc pas à ce jour État membre de la CPI.
 
La Côte d'Ivoire n'est pas le seul État dans cette situation, en Afrique nous avons notamment le Cameroun, en Amérique, les États –Unis, en Asie, la Chine qui n'ont pas ratifié ce Statut.
 
Il est d'ailleurs intéressant de s'arrêter sur les motifs invoqués par la Chine pour refuser la ratification :
 
  • La CPI va contre la souveraineté des États nations ;
  • Le principe de la complémentarité donne au Tribunal la capacité de juger le système de tribunal d'une nation (à savoir si les juridictions nationales sont compétentes pour juger de tels crimes) ;
  • La juridiction des crimes de guerre couvre à la fois des conflits internes et internationaux ;
  • Enfin, et c'est le plus important des griefs contre ce Tribunal, la Chine estime que le droit du procureur à déposer des accusations peut placer la Cour sous une influence politique.
 
L'on peut se rendre compte que cette crainte de la Chine est avérée face à ce qui se passe en Côte d'Ivoire, où le procureur est entrain de brandir la menace de poursuites comme épouvantail pour obtenir du Président Gbagbo qu'il cède son siège de Président de la République de Côte d'Ivoire à la personne choisie par la « communauté internationale «  , cette nébuleuse.
 
Lorsque l'on suit l'histoire de la Côte d'Ivoire on se pose la question de savoir pourquoi la CPI n'a pas brandi la même menace à l'encontre des rebelles lorsqu'ils se sont livrés à toutes sortes d'exactions à partir de Septembre 2002, alors même que cela rentre dans les compétences du Tribunal, fonctionnel depuis juillet 2002.
 
  1. Comment la CPI entend elle asseoir sa crédibilité si elle se laisse entrainer dans des manipulations politiques comme c'est le cas en Côte d'Ivoire ?
 
  1. Comment expliquer que la CPI s'immisce dans un conflit de politique interne et menace une des parties en cause en restant complètement silencieuse depuis de nombreuses années sur les agissements de l'autre partie ?
 
  1. Comment la CPI peut elle expliquer que soudainement elle est devenue soucieuse de la protection des populations ivoiriennes qu'elle a ignorées hier et continue à ignorer car de toute évidence ce n'est pas l'intérêt du peuple ivoirien qu'elle protège ?
 
  1. Comment comprendre que la CPI, n'a émis et continue à ne pas émettre de menaces contre les soldats français qui avaient tiré sur la foule aux mains nues à Abidjan en 2004 ?
 
Le Cas du préfet d'Abengourou, attaqué le 25 ou le 26 janvier 2011 par les jeunes du Rhdp … ; Les exactions de Duekoué , Daloa etc….
 
ET LA LISTE EST LONGUE…….
 
Tout cela doit nous amener à nous demander si la CPI n'est pas une nouvelle arme mise entre les mains des pays occidentaux pour menacer et asservir les pays du Sud par d'autres voies masquées sous des aspects de légalité etc…
 
 
Me Josette Kadji
Avocat au Barreau du Cameroun et près le TPIR et la CPI
 
Me Jean de Dieu Momo
Avocat au Barreau du Cameroun et près le TPIR
 
 

mercredi 9 février 2011

Coup de force électoral, encore des preuves!!

Cote d'Ivoire : Coup de force électoral, encore des preuves!!!!!!!!!

Capture d'écran du complot de la France et collusion RHDP, ONUCI, FRANCE.
Ces "Print Screen" ont été faits par un Facebooker alors même qu'il ne savait pas qu'il en aurait besoin dans le futur. Il gardait ainsi des images de preuves irréfutables de la préparation du complot visant à proclamer Alassane Ouattara vainqueur des élections présidentielles 2010. Ces images montrent bien la collusion entre le RHDP, l'ONUCI et la France dans ce coup de force électoral au 2nd tour.
Regardez bien les parties que j'ai encadré ce ces images.
Les faits :

1- Le 29 novembre soir, le site LGO annonce puis présente ADO comme le "Nouveau président Ivoirien". Notez bien qu'il ne dit pas le "Futur Président" mais le "Nouveau Président". Comme s'il donne une information et non une prévision ou une prédiction...

Ce même site dont le propriétaire n'est autre que Jean Paul Ney, ce français qui avait été arrêté et mis en prison pour tentative de déstabilisation de la Cote d'Ivoire en complicité avec Ibrahim Coulibaly dit IB, avait publié dès le 29 novembre 2010 déjà, des résultats qui donnaient Alassane vainqueur a plus de 53% alors même qui la CEI commençait a peine ses délibérations.

2- A partir du 30 novembre, le site ADO solution annonce en Flash Info que les résultats ne seront pas communiqués via la RTI : « La TRI ne retransmettra pas les résultats proclamés par la CEI, suivre plutôt sur ONUCI FM ou les chaines… ». Donc le site de campagne du candidat Alassane Ouattara savait que Bakayoko allait faire ce qu'il a fait devant les chaines étrangères. De plus, l'ONUCI est bel et bien présenté comme complice de ce qui allait arriver puisque la radio ONUCI FM apparait bien en première position...

3- Le 1er décembre, EURONEWS donne ce flash d'info : "Cote d'Ivoire: Alassane Ouattara proclamé vainqueur de l'élection présidentielle par la commission électorale.". Cela semble anodin!!!! Mais attention, Bakayoko a fait sa déclaration le 2 décembre et non le 1er décembre.

Conclusion :
Alassane Ouattara, candidat de l'étranger et ses soutiens avaient prémédités l'issue de ces élections des après le premier tour ou même avant. Mais leur plan ne marche pas comme prévu et a conduit la Cote d'Ivoire dans l'impasse actuelle. Seule la vérité viendra à bout de ce tricheur/criminelle de Alassane Ouattara, et elle a commencé à sortir. Tout doucement mais surement.
____________________